Difference between revisions of "L'IS réseau"

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Un ordinateur fonctionne grâce à un "système d'exploitation" ('''Operating System''', '''OS''') qui se place au dessus du matériel (Hardware), à la base du logiciel (software).  
 
Un ordinateur fonctionne grâce à un "système d'exploitation" ('''Operating System''', '''OS''') qui se place au dessus du matériel (Hardware), à la base du logiciel (software).  
  
Un réseau fonctionne grâce à son "'''inter-services'''" ('''IS''').  
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Un réseau (Timeware) fonctionne grâce à son "'''Interacting System'''" ('''IS''').  
  
  
La différence pratique est que ce dernier n'est pas un bloc construit, documenté, sujet à des releases et à des mises à jour constructeur, propriétaires ou Libre. C'est un maillage dynamique en changement permanent (RFC 1859 : "le seul principle stable de l'architecture de l'internet est que sauf ce principe tout peu changer") entre des machines dont les mises à jour sont décidées aléatoirement par les producteurs de leurs logiciels et leurs opérateurs. Nous sommes dans la complexité du "chaos fractal déterministe" de l'Univers. Chaque décision est rationalisable, à toutes les échelles : le résultat n'en est pas moins complexe et imprévisible (''<u>barrière du temps : le temps de calcul de la prévision est supérieur au délais d'occurrence</u>").
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La différence pratique est que ce dernier n'est pas un logiciel mais un '''practiciel''' construit en commun, documenté par des "meilleures pratiques", sujet à des releases et à des mises à jour opérateur, collectives ou Libres. C'est un maillage intellectuel dynamique en adaptation permanent (RFC 1859 : "le seul principle stable de l'architecture de l'internet est que sauf ce principe tout peu changer") entre des machines dont les mises à jour sont décidées aléatoirement par les producteurs de leurs logiciels et leurs opérateurs. Nous sommes dans la complexité du "chaos fractal déterministe" de l'Univers. Chaque décision est rationalisable, à toutes les échelles : le résultat n'en est pas moins complexe et imprévisible (''<u>barrière du temps : le temps de calcul de la prévision est supérieur au délais d'occurrence</u>").
  
Toutefois, l'interopérabilité entre toutes ces machines réclame leur partage d'une '''base normative pivot''' qui sera '''commune à tous''' et qui '''ne changera jamais'''. Le point d'ancrage normatif de tout l'ensemble.
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Toutefois, l'interopérabilité entre toutes ces amas, plus ou moins organisés (''ordre'') / déorganisés (''chaos''), de '''monèmes''' (''monades temporelles : à quatre dimensions'') au sein de leur '''dixémie''' (du grec diktyos, maillage) réclame leur partage d'une '''base normative pivot''' qui soit '''commune à tous''' et qui '''ne changera jamais''' car descriptive de la '''réelité''' que chacun ne connait que par sa propre perception de la phénoménologie de cette '''réelité''' (sa '''réalité''') dont on tente par la '''norme''' un ancrage de tout l'ensemble qui permette une modélisation et une simulation prévisionnelle partageables par tous. En tant que base première, cet ancrage en est l''''architectonie'''. Elle se doit d'être en libre usage à tous : nous l'appellerons donc "ALFA" (''architectonie libre/free architectony''). Son propos est d'être le support d'une "internoétique", un inter-mode de penser et/ou de présentation pour un dialecte anthropobotique commun aux '''mnèmes''' (<u>''continuités temporelles''</u>) du dixème homme/machine.
 
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|cette plus petite norme commune qui ne sera pas changée est le concept de '''datagramme''' de Louis Pouzin. Les données échangées entre tous les éléments du réseau des réseaux des réseaux ... sont '''des blocs de données inchangés de bout en bout'''. 
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Au dessus et au sein de ces datagrammes vont venir de multiples additions articulées selon diveres modalités d'emploi (protocoles) et diverses architectures (technologies), mais aucune ne va altérer le concept de '''datagrammes de bout en bout'''.
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| '''Le datagramme présent à un bout du réseau, va se retrouver copié à l'identique à l'autre bout du réseau'''. Quels que soient le protocole et la technologie. Toutefois, les architectures vont utiliser et concaténer les "blocs de construction de datagrammes de bout en bout" de multiples mannières, pour contenir la négentropie du réseau (services à valeur ajoutée) jusquintroduire sa capacité néguentropique, pour créer des systèmiques virtuelles répondant à la multiplicité des attentes d'utilisation.
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Ceci se fait par des services aux datagrammes de bout en bout et par leur agencement et leur inter-services à travers le réseau. Faciliter la compréhension et aider à maîtriser la capacité d'imaginer, construire, valider et déployer de telles systèmiques de façon robuste et simple, telle est l'ambition du projet (titanesque ? et donc long) de ce site.
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|'''Toutefois''' : le bout du réseau est une notion à deux niveaux : mais la RFC 1958 (''architecture de l'internet'') introduit la '''frange au-delà du bout''': "The network's job is to transmit datagrams as efficiently and flexibly as possible. Everything else should be done at the fringes". Les franges pouvant être finales ou intermédiaires au parcours de bout en bout (open pluggable edge servers). Le contenu délivré est celui que l'envoyeur qu'il reçoive (notion de perférent).
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L''''IS''' décrit non seulement la manière dont tout :
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* se passe déjà pour transporter les datagrammes identiques de '''bout en bout''' du réseau (c'est la ''communication'').
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* mais aussi dont cela doit se passer pour faire parvenir aux autres utilisateurs du réseau des datagrammes dont la valeur aura été augmentée "'''de frange à frange'''" (multiples "bout en bout"s entre serveurs introduits au sein de son maillage et à ses franges - plug-hosts" de '''services étendus''' - selon les demandes d'intelligence ajoutant au contenu des datagrammes (alors qualifiés d''''intelligrammes''') envoyés et reçus ( c'est l'''intellition'' du contenu).  
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NETIX consiste en l'ensemble de ces technologies décrites d'une manière cohérente et accessible aux utilisateurs pilotes. C'est à dire aux utilisateurs soucieux de savoir et pouvoir adapter à la frange :
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* leur expérience du catenet (réseau partagé mondial des ressources digitales)
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* à leurs besoins propres et à ceux de leur communauté/entreprise.
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Cette compréhension et cette description commune sera la '''votre'''. Merci de '''nous aider''' à '''vous aider'''.
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Ceci signifie que le mode de réaisonnement qui va s'appliquer à travers un IS sera '''dixèmique''' dans un contexte "homéodynamique" par extension des modes de raisonnement : '''analytique''' perdurante des monèmes marqués par la stabilité, et '''systèmique''' de l'homéostatique (et l'histéresys transitionnelle) des systèmes.
 
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Latest revision as of 07:10, 14 August 2021


Un ordinateur fonctionne grâce à un "système d'exploitation" (Operating System, OS) qui se place au dessus du matériel (Hardware), à la base du logiciel (software).

Un réseau (Timeware) fonctionne grâce à son "Interacting System" (IS).


La différence pratique est que ce dernier n'est pas un logiciel mais un practiciel construit en commun, documenté par des "meilleures pratiques", sujet à des releases et à des mises à jour opérateur, collectives ou Libres. C'est un maillage intellectuel dynamique en adaptation permanent (RFC 1859 : "le seul principle stable de l'architecture de l'internet est que sauf ce principe tout peu changer") entre des machines dont les mises à jour sont décidées aléatoirement par les producteurs de leurs logiciels et leurs opérateurs. Nous sommes dans la complexité du "chaos fractal déterministe" de l'Univers. Chaque décision est rationalisable, à toutes les échelles : le résultat n'en est pas moins complexe et imprévisible (barrière du temps : le temps de calcul de la prévision est supérieur au délais d'occurrence").

Toutefois, l'interopérabilité entre toutes ces amas, plus ou moins organisés (ordre) / déorganisés (chaos), de monèmes (monades temporelles : à quatre dimensions) au sein de leur dixémie (du grec diktyos, maillage) réclame leur partage d'une base normative pivot qui soit commune à tous et qui ne changera jamais car descriptive de la réelité que chacun ne connait que par sa propre perception de la phénoménologie de cette réelité (sa réalité) dont on tente par la norme un ancrage de tout l'ensemble qui permette une modélisation et une simulation prévisionnelle partageables par tous. En tant que base première, cet ancrage en est l'architectonie. Elle se doit d'être en libre usage à tous : nous l'appellerons donc "ALFA" (architectonie libre/free architectony). Son propos est d'être le support d'une "internoétique", un inter-mode de penser et/ou de présentation pour un dialecte anthropobotique commun aux mnèmes (continuités temporelles) du dixème homme/machine.

Ceci signifie que le mode de réaisonnement qui va s'appliquer à travers un IS sera dixèmique dans un contexte "homéodynamique" par extension des modes de raisonnement : analytique perdurante des monèmes marqués par la stabilité, et systèmique de l'homéostatique (et l'histéresys transitionnelle) des systèmes.